Siestes like teen Spirites
Équipé.es de lecteurs et de casques, plongez dans 40 minutes de création sonore confortablement installé.e.s sur un tapis cosmique, seul.e, ou à plusieurs. Élodie Wysocki, artiste plasticienne développe un travail autour des figures monstrueuses, principalement féminines. Vincent Gasté, musicien et ancien journaliste, s’intéresse aux gens. Ses créations sonores se colorent du langage de celles et ceux qu’il rencontre.
Samedi 21 septembre à 14h, 15h et 16h, jardin du moulin
Dimanche 22 septembre à 14h, 15h et 16h, jardin du moulin
Élodie Wysocki est artiste plasticienne, diplômée de l’école des Beaux-arts de Nîmes et de l’Université de Lille. A travers sa recherche plastique, l’artiste interroge la notion d’altérité : ce qui est autre, différent, mais aussi sauvage, étrange, voire monstrueux. S’attachant aux “anormalités”, aux frontières, elle développe un répertoire polymorphe en volumes, entre textile et céramique.
Les figures monstrueuses, les banni-es, les mis-es au ban de la société intéressent particulièrement l’artiste. Et si, pour une fois, on portait un regard différent sur ceux et celles qui sont censés nous faire peur ? N’y a-t-il pas une autre façon de les regarder, de les rencontrer, peut-être de les apprivoiser ? Observer les marges et ses « altérités redoutées », c’est d’abord comprendre les émotions fortes qu’’elles éveillent en nous. C’est ensuite, mesurer les limites de notre humanité. C’est enfin observer en biais la société, tout en donnant voix au singulier.
Les marges sont en effet des espaces intermédiaires, mouvants. Élodie aime imaginer ces espaces habités de créatures qui font souvent se rencontrer la science et l’imaginaire, l’abstrait et le concret.
Cette curiosité pour les « Autres » a amené l’artiste à fouiller d’autres champs de recherche et d’expérimentations touchant à ces notions de marginalisation. De l’anthropologie à l’écologie, en passant par la mythologie et la philosophie, sa recherche s’est aussi attachée aux pensées éco-féministes, lieu de croisement des interrogations de l’artiste.
On croise ainsi dans son travail tout à la fois, les figures velues du Yéti, Judith, quelques harpies et sorcières, Toumaï, La Loba, Darwin, Marie Madeleine ou encore la belle Ladie Godiva.
https://elodiewysocki.fr
Siestes like teen Spirites
Équipé.es de lecteurs et de casques, plongez dans 40 minutes de création sonore confortablement installé.e.s sur un tapis cosmique, seul.e, ou à plusieurs. Élodie Wysocki, artiste plasticienne développe un travail autour des figures monstrueuses, principalement féminines. Vincent Gasté, musicien et ancien journaliste, s’intéresse aux gens. Ses créations sonores se colorent du langage de celles et ceux qu’il rencontre.
Samedi 21 septembre à 14h, 15h et 16h, jardin du moulin
Dimanche 22 septembre à 14h, 15h et 16h, jardin du moulin
Élodie Wysocki est artiste plasticienne, diplômée de l’école des Beaux-arts de Nîmes et de l’Université de Lille. A travers sa recherche plastique, l’artiste interroge la notion d’altérité : ce qui est autre, différent, mais aussi sauvage, étrange, voire monstrueux. S’attachant aux “anormalités”, aux frontières, elle développe un répertoire polymorphe en volumes, entre textile et céramique.
Les figures monstrueuses, les banni-es, les mis-es au ban de la société intéressent particulièrement l’artiste. Et si, pour une fois, on portait un regard différent sur ceux et celles qui sont censés nous faire peur ? N’y a-t-il pas une autre façon de les regarder, de les rencontrer, peut-être de les apprivoiser ? Observer les marges et ses « altérités redoutées », c’est d’abord comprendre les émotions fortes qu’’elles éveillent en nous. C’est ensuite, mesurer les limites de notre humanité. C’est enfin observer en biais la société, tout en donnant voix au singulier.
Les marges sont en effet des espaces intermédiaires, mouvants. Élodie aime imaginer ces espaces habités de créatures qui font souvent se rencontrer la science et l’imaginaire, l’abstrait et le concret.
Cette curiosité pour les « Autres » a amené l’artiste à fouiller d’autres champs de recherche et d’expérimentations touchant à ces notions de marginalisation. De l’anthropologie à l’écologie, en passant par la mythologie et la philosophie, sa recherche s’est aussi attachée aux pensées éco-féministes, lieu de croisement des interrogations de l’artiste.
On croise ainsi dans son travail tout à la fois, les figures velues du Yéti, Judith, quelques harpies et sorcières, Toumaï, La Loba, Darwin, Marie Madeleine ou encore la belle Ladie Godiva.
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