Bonjour, je m'appelle Thomas Dupal.  
Je suis artiste, un ingénieur devenu poète et performeur.
Né de parents français à Singapour, j'ai grandi loin de la France (Texas, Norvège, Egypte, Venezuela). Je vis actuellement à Paris.
Inspiré de mon expérience de consultant dans le monde de l’entreprise, nourri des tragiques, troubadours et mystiques de diverses traditions, mes performances et installations explorent la mutation à l'oeuvre chez l’être humain à l'ère du smartphone, dans un contexte technologique qui tend à encoder, amplifier et assigner une valeur marchande à chaque aspect de l’existence.
Titre possible de ma démarche : "Ceci n'est pas une fiction".
Photographe autodidacte à mes débuts, profondément imprégné de la démarche de Nan Goldin aux côtés de laquelle j’ai travaillé pendant 3 ans, ma pratique artistique se construit à l'intersection des arts visuels, de la danse et du théâtre depuis qu’en 2013 j’ai découvert la danse libre, une pratique d’improvisation vouée à la transe - loin des mots, loin des images - que je propose depuis sous forme d'ateliers (LA DANSE) et qui constitue avec l’écriture le cœur battant de ma pratique.
J'anime actuellement LA DANSE deux fois par mois dans le centre de Paris.
Diplômé en 2016 de l’option Photographie de La Cambre - où ma pratique de la performance a vu le jour, mêlant images, textes et danse pour interroger le statut de la photographie à l’ère du smartphone - je collabore depuis à nombre de projets comme performeur (Lili Reynaud-Dewar, Cie Mossoux-Bonté, Doris Uhlich...) tout en développant un travail personnel montré à Bruxelles au KaaiStudio’s, à l’ISELP ou à La Centrale, à la Float Gallery d’Athènes (Grèce), à la Biennale de São Paulo 2018 (Brésil) ou plus récemment à l’édition 2021 du festival Jeune Création (France).
J'écris actuellement un recueil de poèmes et de nouvelles en parallèle de projets de rédaction pour des maisons de couture telles que Balenciaga, Bonastre et Schiaparelli.